Le contrôle continu repose sur des évaluations communes organisées au cours des années de première et de terminale. L’objectif : valoriser le travail régulier des élèves tout en limitant le nombre d'épreuves à la fin de l'année de terminale.
Les évaluations communes (30% de la note finale) ont lieu aux 2ème et 3ème trimestres de l'année de première, puis au 3ème trimestre de l'année de terminale pour la plupart des enseignements communs et pour l'enseignement de spécialité non poursuivi en classe de terminale.
Pour garantir l'égalité entre les candidats et les établissements scolaires, une « banque nationale numérique de sujets » a été est mise en place. Les copies anonymes sont corrigées par d'autres professeurs que ceux de l'élève. Une harmonisation est assurée.
Les évaluations communes sont composées de :
- histoire-géographie (coefficient 5)
- langue vivante A (coefficient 5)
- langue vivante B (coefficient 5)
- enseignement scientifique (coefficient 5)
- EPS (coefficient 5)
- spécialité de première abandonnée (coefficient 5)
Les bulletins scolaires de première et de terminale sont pris en compte pour 10% de la note finale afin, là encore, de valoriser la régularité du travail de l'élève. Ce coefficient 10 est réparti à moitié entre la moyenne des moyennes des enseignements de première et de terminale. Chaque enseignement compte à poids égal dans la moyenne générale annuelle.
Les enseignements optionnels ont le même poids que les autres enseignements dans le calcul de la moyenne générale annuelle. En revanche, seule la moyenne annuelle des notes de l’année est prise en compte pour le baccalauréat. Seuls les élèves qui suivent l’enseignement optionnel de langues et cultures de l’Antiquité (LCA), et dont la moyenne générale annuelle excède 10 sur 20, se voient attribuer des « points bonus » : les points supérieurs à 10 sont retenus et comptent pour le résultat du baccalauréat pour un coefficient de 3.