« La Grande école des créateurs et développeurs d’entreprise. »
En une phrase l’EDC définit ainsi son ADN en mettant également l’accent sur le business développement et le management du luxe. « Dès 2024 il y aura un cours sur la luxurisation de la société qui va bien au-delà du seul secteur du luxe », développe William Hurst dont l’école a également dans son périmètre l’institut Sup de Luxe.
Aujourd’hui plus de 10% des jeunes diplômés de l’EDC deviennent entrepreneurs après leur diplôme. Le parcours étudiant-entrepreneur est accessible dès la première année. Pour aller plus loin l’EDC entend faire que « le campus entier devienne un incubateur » en donnant accès à tous les espaces de l’école aux entrepreneurs. Un fond d‘amorçage de 500 000€ est créé avec l’association des anciens pour soutenir les projets incubés qui monteraient à 60 contre 45 aujourd’hui.
Le business développement doit aussi être durable. Un semestre entier sera ainsi dédié à la prochaine rentrée au management responsable. Un cours obligatoire sera également dédié aux « business models innovants ». La recherche sera également impactée puisque ce sont la moitié des articles de recherche qui devraient être consacrés au développement durable.
Direction Le Caire. Déjà présente à Paris sur trois campus et à l’international au Maroc (Rabat), en Espagne (Barcelone avec sa maison mère le groupe Planeta) et en Suisse (Lausanne), l’EDC s’installe maintenant en Egypte de concert avec une autre école du groupe Planeta, l’Eslsca. Dès 2024 serons délocalisés des programmes français reconnus également sur place et essentiellement destinés à des étudiants du Moyen-Orient. En 2027 l’EDC sera également implantée sur un troisième continent.